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Prof et plus si affinités
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5 avril 2010

Initials B.B.

Mon week-end pascal s'avère fort peu exaltant puisqu'il tourne autour du travail. Remarquez, étant donné les averses et autres grêlons qui tombent du ciel, rester chez soi est salutaire.

DSC_0952

Je viens de finir une étude de texte tirée de Thérèse Raquin, mon pavé de truite et des rondelles de courgettes cuisent à la vapeur, je prends donc le temps d'écrire ici un peu.

Alors, dans le désordre, je reprends une partie de ce que j'ai annoncé hier.

benjamin_biolay_la_superbe

J'ai vu Biolay en concert. Je ne savais à quoi m'attendre : un bobo trop sûr de lui et inaudible ? un génie dandy chantant faux mais au charme irrésistible ? un type enthousiasmant et surprenant ? une révélation en live ?
Pour tout dire, j'ai été bluffée. C'est l'un des meilleurs concerts auquel j'ai assisté. L'ensemble musical était quasiment symphonique : harpe, guitare sèche, guitare électrique, piano, basse, synthés, percussions... Il y avait même deux instruments totalement surprenants : une cymbale hélicoïdale de presque deux mètres de haut et un appareil électronique dont on joue en agitant sa main dans le vide, comme sur une corde imaginaire...
J'ai trouvé Biolay très généreux et très humble. Et les musiques étaient grandioses. L'ambiance s'est imposée crescendo, pour que le public finisse debout sur les quatre derniers morceaux.
Ceci étant, dans ce fameux public, j'ai hérité de sept dindes -trois devant, quatre derrière. Elles pensaient que lorsque le chanteur se tait et qu'il n'y a "que" de la musique, elles pouvaient papoter. Mais il faut couvrir la dite musique. Donc beugler. Je déteste ce manque de respect à la fois à l'égard de l'artiste qui se produit, et à l'égard des spectateurs autour. Il faut bien le dire, ces dindes-là m'ont gâché certains morceaux, alors que j'étais transportée.

Ah, le minuteur du cuit-vapeur a sonné : je reviens après avoir mangé !

14h05 : Voilà, je suis rassasiée. Tenez, au fait, j'ai découvert un substitut naturel au sucre et absolument délicieux : le sirop d'agave. Cela ressemble à du miel.

Bon, je reprends le fil de mon bloc-notes d'hier. J'ai donc fait travailler les secondes sur un extrait de Racine. La chose n'est pas forcément évidente, puisqu'ils découvrent en général l'écriture en vers, la langue du XVIIème, les notions de la tragédie, etc pour la première fois. Nous faisons donc deux lectures à voix haute; je suis enthousiaste et leur parle de la pièce. Je leur dis me retenir de leur lire moi-même les tirades de Bérénice. Evidemment, ils le réclament. Je cède, mais seulement après qu'ils auront répondu aux questions. Et là, l'un d'eux me dit qu'ils n'ont pas tout compris à l'histoire, et que ça va être difficile de répondre.
Soit. Je décide donc de leur faire une version modernisée des répliques... Je vous re-situe l'histoire : Bérénice, reine de Palestine, aime et est aimée de Titus. Celui-ci devient empereur de Rome. Le Sénat lui interdit le mariage avec Bérénice car elle n'est pas romaine. Titus cède. Il vient de lui annoncer sa décision...

_ Bon, mon p'ti coeur, tu vois, j'ai décroché un nouveau job, et toi et moi, ça va pas l'faire. Tu fais tache, là. Tu comprends, j't'aime bien tout ça, mais je n'ai pas le choix.

_ C'est quoi c't'embrouille ? Tu me dis quoi, là ? Tu m'avais mis la bague au doigt, et puis basta ? Non mais t'es qui, toi, pour me faire ça ? Y'en a une autre ou quoi ? Pauv' mec !

_ Nan, mais comprends-moi : mon nouveau patron il aime pas ça, et je ne peux pas faire autrement, tu sais. Mais je t'aime, je t'assure !

_ T'es vraiment un naze ! Je suis croc de toi, et voilà que tu m'envoies bouler ! Comme une vieille chaussette ! T'es qu'un lâche, tiens. Et comment je vais faire maintenant, toute seule ? Tu t'en fous, toi.

Hum, voilà à peu près ce que j'ai fait en guise de transcription, avec le ton et les gestes, devant des élèves éberlués et enchantés, évidemment... J'ai conclu le cours sur ma promesse, en lisant le texte de Racine au mieux de ce que je sais faire et, malgré la sonnerie, aucun élève n'a bougé...

Je finis sur l'addiction de mes premières au portable : les trois quarts d'entre eux dorment avec leur téléphone, et j'en ai même une qui m'a avoué avoir séché des cours parce qu'elle l'avait oublié chez elle et que cette idée  lui était insupportable. Elle rentrait donc pour le récupérer, car elle ne pouvait rester sans, quitte à rater le lycée... Je précise que cette discussion a eu lieu suite à un discours musclé de ma part, car je ne supporte plus la présence de ces objets pendant que je fais cours. J'ai dit que je n'avais qu'une envie : piétiner les dits téléphones. Voir mes élèves pianoter sur leur portable alors que je cause, et admirer leurs cuisses, tête baissée, pensant que je ne verrai rien, c'est vraiment de l'impolitesse.

Voilà, c'était mon quart d'heure de vieille schnock. A vous les studios !

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29 janvier 2010

Okazou...

J'essaye de corriger un paquet de dissertations pour demain, et si j'en ai le temps/le courage/ l'envie, je reviendrai fureter ici après...
Bonne soirée à tous, sinon !

25 janvier 2010

Train-train is back

Au programme aujourd'hui

Ranger un peu l'appartement.
Repasser (ce soir devant la saison 3 d'Ally Mc Beal).
Préparer mes cours pour la semaine et peut-être corriger un peu.
Enfin rédiger ma liste temporaire de textes du Bac en prévision du Bac blanc.
Défaire le sapin de Noyel.
Abdos et gym du jour.
Rêvasser.
Ecrire ?
Sourire bêtement.
Aller m'acheter des cartouches bordeaux Mont-Blanc ?

Si le programme varie, je m'adapterai. Flutine va être très occupée cette semaine, il va falloir reprendre un rythme plus habituel... Pffff.

Edit de 18h20 : voilà, je me suis arrachée à l'écran-aimant pour cet après-midi, sinon j'aurais guetté des petits mots doux... Je suis allée dans Paris en scooter pour m'acheter des cartouches Mont-Blanc (je ne corrige qu'avec ça, donc pas de cartouches, pas de corrections, na !), des capsules Nespresso, un marqueur noir, et faire un tour chez Citadium. J'y ai trouvé un sac bowling de la marque Skunk Funk à -70% (contrairement à la photo, il est non pas noir mais dans les verts; à la fois chic et sport). Je me suis fait ce plaisir... Sinon, j'ai envie de refaire Noyel avec Flutine et de lui offrir deux trois choses... C'est grave, docteur ?

sac_skunk_funk

23 janvier 2010

Les 1800

Cette entrée sera double, elle le mérite : c'est la mille huit centième... J'ai du mal à y croire vraiment, tant cela me paraît imposant. Double car elle contiendra quelques nouvelles fraîches et mystérieuses, et mon défi de la semaine. Oui, je suis magnanime, je sais; ne me remerciez pas.

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Premier temps

Le temps de prendre le temps, de lui courir après, d'attendre la fin des cours avec impatience, de rentrer vite vite car une femme est au fond du lit encore chaud, car une femme vous espère et vous sourit à votre arrivée.
Le temps du café pris seule le matin alors qu'elle dort profondément, en confiance, pendant que je lui écris des niaiseries pour son réveil.
Le temps des craintes que tout s'arrête, que tout ne soit que fumée, qu'elle veuille faire machine arrière...
Le temps des regards qui en disent long, en plein silence délicieux.
Le temps qui m'appartient. Le temps qui nous appartient. Jusqu'à demain matin tôt. Pour une fois.
Le temps où mon visage sourit, beaucoup, vraiment. Mes amies me disent que l'amour me va bien. A qui n'irait-il pas ?
Le temps de rêver au prochain rendez-vous...
Le temps de me sentir belle, en travaillant mon corps.

Deuxième temps

Celui de l'écriture. Ce que j'écris gagne en tendresse sans doute, en douceur. Le défi de cette semaine en est le témoignage, je crois. La consigne portait sur le papier, et devait contenir cinq noms d'oiseaux et quatre onomatopées.

Voici ma participation, intitulée "Tous mes papiers" :

Sur mes papiers virtuels, j’écris des mots de nuit, des mots d’orage, des mots de pluie.

Sur mes papiers de cœur, il y a des hirondelles, du miel, des odeurs de sapin, quelques grammes de cannelle et un grain de poivre. Ah, l’aigreur du piment…

Sur mes papiers calque, je dessine les contours de mes vides, comme un aigle dans le ciel.

Sur mes papiers buvard, j’attends que tout s’absorbe, aussi patiente que la buse le long de la route. Han, les taches restent.

Sur mes papiers à bonbons colorés, j’écris le vol rapide du colibri, les ailes du papillon, le rayon de lune ou de soleil, et pffft ! tout s’envole sous l’empressement du vent à jouer avec eux.

Sur mes papiers chiffon, j’essuie mes larmes, de joie ou de chagrin ; j’arbore certaines fleurs entre deux fils ténus ; je caresse l’épais feuillet et lui fais de l’œil, telle une pie prête à voler…

Mais j’endors mes plumes, les range au fond des trousses et des pots à crayons. Hum.

Garçon, du papier et de l’encre !

20 janvier 2010

De l'amour et des endives

sirop_d__rable

Me voici enfin de retour sur le net... Mes fidèles lecteurs, parfois amis, se sont inquiétés de mon silence radio.
Oui, j'ai déconnecté pendant presque trois jours. Il faut dire que j'avais commencé avec les coups de fil nocturnes, et les échanges diurnes dès lundi dernier.
Par où débuter l'histoire, sans la déflorer ? Flutine et moi avons de nombreuses choses en commun, dont un certain parcours scolaire, la musique, les références culturelles. Mais outre cela, qu'en serait-il une fois que nous serions en face l'une de l'autre ? Un peu folle, je décide de lui proposer de débarquer pour le we chez elle, à environ 500km d'ici... On hésite -peur d'être déçues-, on parle, on en meurt d'envie : je prends le volant.
La découverte est étrange dans un premier temps. On s'habitue aux regards, on cherche la trace de l'autre dans les rares photos que nous avions échangées.
Et puis la tendresse obsédante émerge, hors de contrôle. Le we entier se passe dans la douceur, la fougue, les rires, les échanges, les longs regards, la musique, l'anglais, des dinettes en guise de repas... Le détail de tout cela nous appartient.
Rentrée lundi soir tard, je décide de m'occuper de moi, de ne plus être qu'au service de moi-même.

Depuis, j'ai raté une heure de cours en pensant commencer à 10h au lieu de 9h; je souris bêtement; j'ai l'air fatigué mais je suis heureuse. Je profite totalement de cet état de grâce, car je sais que les premiers moments sont les plus merveilleux.

Je revois Flutine très vite. La vie est si courte, et ce type de relation si rare...

Là, je vais ranger l'appartement un peu négligé, nettoyer, installer de nouvelles prises électriques, regarder la pluie tomber sans devenir mélancolique, puis faire une sieste. Je m'endormirai en souriant, comme c'est le cas depuis plus d'une semaine...

PS : Ah, et puis l'amour motive : j'ai perdu presque 4kg en quinze jours.

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31 décembre 2009

De la musique avant toute chose...

Je n'aime guère les réveillons de nouvel an auxquels certains accordent tant d'importance, comme si dès le 1er janvier, leur vie allait changer. Je le dis tous les ans : pour moi, l'année débute en septembre, le jour de la rentrée.

Mais à cette dernière "fête" de l'année me donne l'occasion de partager avec vous des chansons de ma discothèque. Je les ai choisies douces au cas où vous auriez un peu de mal à émerger, ou bien si vous êtes devant votre écran dès la publication de cette entrée, vous n'aurez que douceur aux oreilles...

Si je devais faire un bilan de 2009, j'y verrais seulement deux événements majeurs : ma mutation en poste fixe en lycée, et la mort de F.. Je dois me creuser pour trouver autre chose.

Au moment où cette entrée musicale sera publiée, je serai avec Emy et ses amis.  Alors à l'an prochain, dans quelques minutes ou quelques heures, peu importe : je vous sais fidèles derrière votre écran, quelle que soit l'année. Et là, j'enchaîne la huitième de blog pour 2010...

 

30 décembre 2009

Faites le tri

Un peu de tout et de rien, dans cette entrée...

J'ai décidé que mon blog-it express servirait de compteur à de multiples choses. J'aime cette idée sans trop savoir pourquoi.
Hier, j'ai investi dans ma planche à adbos. Premier essai ce matin. Je vous raconterai.
Par ailleurs, j'ai enfin lavé ma voiture, parce que je n'avais plus le choix : j'avais peu de vision latérale tant les vitres étaient sales de neige fondue, de pluie, de poussière...
Je vais bientôt terminer la saison 2 d'Ally Mc Beal. Il y a un épisode qui m'a fait pleurer (pour les fanas de la série, c'est l'histoire du petit garçon atteint de leucémie qui attaque Dieu en justice... Il y a aussi Ling qui s'arrange pour qu'Ally voie un dirigeable...), et la vie sentimentale des personnages me touche plus que je saurais le dire.
J'ai attaqué les corrections de copies. J'ai dû faire le cinquième du lot hier...
Au final, Emy me sauve d'un réveillon solitaire ! C'est fou comme les voies du net sont impénétrables...
La roue de mes amis tourne, et souvent les blogamis prennent une place considérable. Si l'on m'avait dit cela il y a dix ans, je n'y aurais guère cru.
Sinon, je crois reprendre goût à la lecture. Enfin non : je ne l'ai jamais perdue, mais je me trouvais des excuses pour peu lire. J'avais un vrai manque. Là, je croule sous les envies : Nietzsche, Jabès, Sartre, Forrester... J'ai repris aussi la lecture d'un ouvrage étonnant : Fuck America d'Edgard Hilsenrath. Les critiques étaient excellentes, et la technique narrative est très moderne. Je ne suis pas assez spécialiste de littérature américaine, mais je crois que ce roman est au carrefour de pas mal d'autres, comme ceux de Breat Easton Ellis ou Bukowski.

Hilsenrath

Et puis il y a les livres que Comtesse m'a donnés. Nous n'avons pas du tout les mêmes goûts, et je suis curieuse de lire ceux qu'elle m'a confiés...
Je me demandais d'ailleurs, après le spectacle de Luchini, quels auteurs je choisirais si je devais lire des textes comme il le fait (NB : j'adorerais faire cours ainsi, en lisant des textes à mes élèves et en dérivant sur mille et une choses... Sans grands concepts, sans cours à noter ou liste de Bac à faire : juste pour le plaisir du partage, de la lecture, pour faire chanter les mots et leur montrer comme c'est beau...). Je sais qu'il y aurait du Baudelaire. Pas forcément celui des poèmes, mais peut-être le critique d'art. Du Colette, pour la beauté du texte. Du Proust, pour le rythme. Du Zweig, pour la finesse psychologique. Du Bobin, pour la lenteur. Et la correspondance de Flaubert, drôle, percutante. Oui, je sais, il y a au moins pour deux spectacles, là.
Allez, je vais calmer mes ardeurs dans une séance d'abdominaux...

18 novembre 2009

Tournez manège

Comme Emy me cause en engliche pour que je m'active côté blog (rendez-vous compte, elle a fait une note plus vite que moi !), je me dis que je manque un peu à mes lecteurs une lectrice.
Mais que s'est-il donc passé depuis, allez, deux jours ? Le suspense est haletant, vraiment...
Dans le désordre :

  • j'ai continué à déprimer mais j'ai dû aller au boulot.
  • alors j'ai travaillé comme une demeurée, en ayant l'impression d'avancer de deux mètres dans l'océan Atlantique à plein régime.
  • j'ai rencontré des parents avant la réunion officielle (ben oui, ça ne me suffit pas).
  • j'ai houspillé les secondes, imité Frédéric Mitterrand et les Inconnus en cours, tenté d'établir une liste définitive de volontaires pour les Zorro, Zorro ! oraux blancs.
  • j'ai regardé les Desperate housewifes en engliche, of course, et en riant (LOL).
  • j'ai failli rater l'heure ce matin : 25 mn pour émerger, ça commence à faire long.
  • j'ai aussi failli manquer de biscottes au pti déj, et ça, ce n'est pas possible : un crime de lèse-petit-déj risquerait d'entrainer un meurtre (cf. la note d'Ed).
  • j'ai écrit une jolie lettre officielle au proviseur à propos des sorties scolaires de mes classes. La première envisagée n'est pas possible, mais c'est en partie de ma faute.
  • j'ai entamé une psychanalyse avec Klaki un soir sur MSN. C'est beau, le progrès.
  • il y a eu une alerte incendie hier après-midi, qui m'a fait perdre environ 20mn de cours et m'a décalée dans mon planning avec les ES.
  • j'ai écrit un mail de réclamation à Karouf, suite à un paquet de jambon qui puait à l'ouverture (le cochon est fourbe  : il attaque avec la grippe, et nous achève avec son jambon !) et à un lot de champignons moisis pourrissant sur des panés de colin pas encore ouverts...
  • j'ai entendu Diam's en live, et je n'aurais jamais pensé dire ça un jour, mais j'ai bien aimé : "L'honneur d'un peuple". Je songe à faire une séance d'ECJS sur "être Français" avec des titres d'Abd Al Malik, Diam's, Zazie, Barbara...

biscottes

A part ça, j'ai envie de dormir tout le temps. Je comate. Je m'active uniquement pendant les cours. J'ai toujours les mêmes paquets de copies entassés sur la table du salon.

J'aimerais changer deux trois agencements dans l'appartement, aussi. Histoire de me donner l'illusion d'un changement au moins, quoi.

Voilà.

Alors, Emy, heureuse ?

10 novembre 2009

Y'a des graff' partout !

Comme j'ai été tagguée par Saint-Luc et Micahuète, je fais un effort mais à ma façon : je vais tenter de faire une liste de sept choses que vous ignorez sur moi, mais je ne tagguerai personne et ne récompenserai personne non plus. Na !
Faut dire que j'ai du mal à trouver les fameuses révélations...

UN : J'ai toujours de la menthe sur moi : chewing-gum, bonbons, Frisks, Tic-Tac, Fisherman friends et consorts sont mes amis depuis des années. Non pas que j'aie une haleine de chacal; j'aime juste beaucoup ça. Je disais même régulièrement que j'étais "fournisseur officiel de menthe" à une époque.

fisherman_s_friend

DEUX : J'adore manger Mc Do. Quand je suis dans Paris, souvent, j'y vais seule (mais je n'en dis rien sur  mon blog...). Je vis cela comme un écart, une bêtise, un plaisir anti gastronomique, mais peu importe. Mon sandwich préféré est le Royal Cheese.

royal_cheese

TROIS : Je ne suis pas une fana du brossage de dents, mais des dentifrices qui "arrachent", oui. Je cherche toujours le plus fort, le plus rafraichissant, le "qui pique". Actuellement, je me lasse du Colgate cristaux de menthe (cf. point n°1).


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QUATRE : En dix ans, j'ai grossi de presque vingt kilos.

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CINQ : Je suis à demi Française, un quart Polonaise et un quart Belge. J'ai d'ailleurs rédigé mon mémoire de maîtrise sur "L'influence des auteurs polonais exilés en France au XIXème siècle". Un truc passionnant, soyez-en sûrs.


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SIX : J'ai eu six chats dans ma courte existence. Trois sont morts, un est avec S. maintenant, et les deux autres avec moi.

SEPT : Quand j'étais adolescente, j'étais très possessive avec mon entourage, voire jalouse des relations que mes parents ou mes amis pouvaient avoir avec d'autres. Cela venait de deux facteurs, selon moi : mon manque de confiance, et mon absence d'histoire d'amour "réelle". Depuis, je me suis soignée, même si je ressens encore certains relents désagréables... puisque je n'ai toujours pas confiance en moi-même et reste incrédule quant à l'amour que les autres peuvent me porter.

Voilà, je crois avoir joué le jeu au mieux...

28 octobre 2009

Mumuse

Voilà, ça y est : je suis connectée via le wifi en plein dans Paris, sur mon magnifique nouveau joujou Acer d'à peine 1,2 kg. Je suis installée  place Colette.
C'est chouette, la technologie.
Si j'osais, je me prendrais en photo, armée de ma glace délicieuse, faisant dos à la comédie française, pour vous montrer ma jolie coupe de cheveux transitoire... Mais non, ne rêvez pas !

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